26/11/2011

La science


10 commentaires:

Personne a dit…

Le vilain est très beau. Je n'ai jamais vu un vilain aussi beau de toute ma vie. Je crois que j'ai failli tomber amoureux de lui tellement il est beau. (Ou alors c'est son côté vilain qui m'attire.)

Mais je suis un peu triste pour le corps inanimé de Papa Sirène. J'espère qu'on réussira au moins à lui implanter l'âme d'une clémenvilla.

L.D.B. a dit…

Triste aussi pour papa sirène

Djaúsðr a dit…

Mais non, c'est trop bien d'être dans des peaux de clémenvilla. !

edweirdo a dit…

Putain les tapettes ! ch'croyais qu'ils étaient experts en arts martiales !

Geoffroy Monde a dit…

Ils s'entraînent, surtout

Erreip a dit…

C'est le moment dans la vie du blog où on se retrouve confronté à la lassitude des lecteurs alors du coup on fait mourir un personnage principal et puis on le fait ressusciter dans des peaux de clémenvilla j'imagine ...

Djaúsðr a dit…

C'est le coup classique

Geoffroy Monde a dit…

C'est le moment dans la vie d'un lecteur de blog où on se retrouve confronté à la lassitude de l'auteur alors du coup on voit mourir un personnage principal et puis on le voit ressusciter dans des peaux de clémenvilla j'imagine... Le coup classique.

L'organisme monocellulaire a dit…

C'est trop triste... Même si le vilain est succulent ainsi que le docteur maléfique. J'aurais préféré voir mourir un affreux type plutôt que le divin Papa Sirène, mais on vérifie ici l'adage "ce sont toujours les premiers qui s'en vont les meilleurs"...

Personne a dit…

Classique, le coup, j'imagine, de la clémenvilla et de ses peaux dans lesquelles on fait ressusciter le personnage principal qu'on a vu mourir, du coup, alors que la lassitude de l'auteur et des lecteurs nous confrontait, dans la vie du blog, quand c'était le moment...
Sauf qu'à l'épisode suivant, ça repart tout simplement comme si de rien n'était, que ça n'avait jamais existé, parce que qui s'en souviendra de toute façon, je vous le demande, et puis le déterminisme et les liens de causalité, ça commence à bien faire, oui !

Je dis ça, mais en fait, je ne dis rien, parce que des fois, les auteurs irrités, par esprit de contre-contradiction, font exactement le contraire de ce que l'on ne voudrait pas qu'ils fassent. Donc je ne dis rien et je me tais.