Une mésaventure de la même veine m'est tombée sur les épaules pas plus tard que dernièrement, je continuais à sentir la présence de mes ongles alors qu'ils n'étaient plus de ces mains, ce qui m'interdit de me rattrapper au meuble de l'entrée comme à l'accoutumée, tandis que je glissais sur ces mêmes ongles, tombés au sol au lieu d'être restés entreposés dans mes cheveux, dont j'étais persuadé sentir la présence bien que fraichement coupés.
Mais c'est horriiiible ton dessin Geoff ! Thomas, je ne te connais pas mais c'est quoi cette histoire d'ongles dans les cheveux ? Zoub' c'est marrant le cordon : faut le dessiner !
Ben élo l'histoire de Thomas elle est claire je trouve. Relis bien. Et Thomas, si tu ne savais vraiment pas qui c'était, c'est le papa de Bastien (même comme il peut pas y avoir deux papas, c'est contre nature, disons que c'est le papa efféminé de Bastien).
Moi Zoub, je sens aussi la présence de mon cordon ET en plus, j'ai l'impression qu'il est relié à mon fils ; du coup j'ai l'impression d'être suivi par le fantôme de mon fils. J'arrête de manger pour le tuer.
Non c'est pas clair ! "tombés au sol au lieu d'être restés entreposés dans mes cheveux" : d'habitude, quand rien n'est coupé, ses ongles sont censés être entreposés dans ses cheveux ! C'est ça que ça veut dire ! Ah mais vos histoires tordues me font tourner la tête et mourir de rire à présent !
Ma phrase d'en haut veut TOUT SIMPLEMENT, TOUT SIMPLEMENT dire que quand je me coupe les ongles je les met d'habitude dans mes cheveux, sauf que là je venais de me couper les cheveux, d'où la chute des ongles sur le sol, d'où ma glissade. C'est limpide comme la chose la plus limpide du monde, que je te laisse d'ailleurs découvrir.
8 commentaires:
Une mésaventure de la même veine m'est tombée sur les épaules pas plus tard que dernièrement, je continuais à sentir la présence de mes ongles alors qu'ils n'étaient plus de ces mains, ce qui m'interdit de me rattrapper au meuble de l'entrée comme à l'accoutumée, tandis que je glissais sur ces mêmes ongles, tombés au sol au lieu d'être restés entreposés dans mes cheveux, dont j'étais persuadé sentir la présence bien que fraichement coupés.
Moi je sens encore mon cordon ombilical.
Du coup, j'ai toujours l'impression d'être suivi par ma mère. Je vis dans l'angoisse.
Mais c'est horriiiible ton dessin Geoff !
Thomas, je ne te connais pas mais c'est quoi cette histoire d'ongles dans les cheveux ?
Zoub' c'est marrant le cordon : faut le dessiner !
Ben élo l'histoire de Thomas elle est claire je trouve. Relis bien. Et Thomas, si tu ne savais vraiment pas qui c'était, c'est le papa de Bastien (même comme il peut pas y avoir deux papas, c'est contre nature, disons que c'est le papa efféminé de Bastien).
Moi Zoub, je sens aussi la présence de mon cordon ET en plus, j'ai l'impression qu'il est relié à mon fils ; du coup j'ai l'impression d'être suivi par le fantôme de mon fils. J'arrête de manger pour le tuer.
Non c'est pas clair ! "tombés au sol au lieu d'être restés entreposés dans mes cheveux" : d'habitude, quand rien n'est coupé, ses ongles sont censés être entreposés dans ses cheveux ! C'est ça que ça veut dire ! Ah mais vos histoires tordues me font tourner la tête et mourir de rire à présent !
Ma phrase d'en haut veut TOUT SIMPLEMENT, TOUT SIMPLEMENT dire que quand je me coupe les ongles je les met d'habitude dans mes cheveux, sauf que là je venais de me couper les cheveux, d'où la chute des ongles sur le sol, d'où ma glissade. C'est limpide comme la chose la plus limpide du monde, que je te laisse d'ailleurs découvrir.
DE L'EAU GAZEUSE.
Ce que sa femme ne sait pas, c'est que sa brosse est faite avec ses poils de barbe.
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